8 août 2009
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09:47
A 23:30, j'ai frissonné en lisant la demande de
pardon offerte par Clothilde Reiss lors de son procès à Téhéran, qui témoigne du déploiement d'autorité paranoïaque d'un régime soucieux de désigner des ennemis extérieurs pour colmater
ses brêches et renvoie violemment, par contraste, à l'insouciance paresseuse et ensuquée de notre culture occidentale.