23 janvier 2009
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18:31
A 19:16, en regardant une personne qui me voyait pour ne parler que d'elle, j'ai continué de me surprendre : "quel est l'intérêt pour cette personne de dire à un tiers ce qu'elle pourrait très bien se dire à elle-même, ce qu'elle doit déjà se dire assez ? Comment fait-elle pour ne pas s'écoeurer elle-même, manquer d'air à ce point, là où ce tiers, s'il ne lui servait pas de spectateur et de témoin, pourrait, sans aller jusqu'à lui montrer qu'on peut s'y prendre autrement, au moins déjà lui faire des vacances, des vacances d'elle-même ?".