A 17:00, j'ai ri en regardant Antoine Di Zazzo, le directeur de Taser France, reconnaître dans un premier temps avoir fait appel à une
agence de détectives pour trouver l'adresse d'Olivier Besancenot, puis aujourd'hui pour procéder à "quelques
vérifications".
J'ai ri devant l'agitation de cet homme qui ne semble pas animé d'un esprit démocratique démesuré, menace
de procès toutes les personnes qui mettent en doute la non-dangerosité des armes qu'il commercialise, semble lancer des enquêtes douteuses et, quoi qu'il en soit, commercialise de toute façon des
armes donc.
Quant à l'inoffensivité du pistolet Taser, dans le post-it
#10 de ce blog, on pouvait voir la vidéo de Robert Dziekański tomber mortellement après une décharge de 50
000 volts de ce pistolet.
Je n'ai pas eu le coeur de regarder l'intégralité de cette vidéo. Vous êtes libre de le faire ou non :